La forêt de la Corniche des Forts à Romainville. 30 hectares d’arbres et de végétation qui ont poussé sur une carrière de gypse dont l’activité a été arrêtée au milieu des années 60. Interdite au public pour des questions d’instabilité du sol et du sous-sol, cette parcelle est aujourd’hui une forêt sauvage. C’est ce périmètre qui fait l’objet d’un projet d’aménagement, celui de la base de loisir de la Corniche des Forts.
Dimanche 13 octobre. Première incursion dans la forêt depuis de longs mois. Les sentiers et les chemins sont peu à peu recouverts par les ronces, faute de promeneurs. Le chantier est toujours à l’arrêt, attendant sa prochaine étape.
Photo : Julien DANIEL / MYOP
La forêt de la Corniche des Forts à Romainville. 30 hectares d’arbres et de végétation qui ont poussé sur une carrière de gypse dont l’activité a été arrêtée au milieu des années 60. Interdite au public pour des questions d’instabilité du sol et du sous-sol, cette parcelle est aujourd’hui une forêt sauvage. C’est ce périmètre qui fait l’objet d’un projet d’aménagement, celui de la base de loisir de la Corniche des Forts.
Le 3 mars 2019. Un petit groupe de militants pénètre sur le chantier et pose pour une petite chaine humaine destinée à montrer la largeur des « avenues » construites par les bulldozers.
Photo : Julien DANIEL / MYOP
La forêt de la Corniche des Forts à Romainville. 30 hectares d’arbres et de végétation qui ont poussé sur une carrière de gypse dont l’activité a été arrêtée au milieu des années 60. Interdite au public pour des questions d’instabilité du sol et du sous-sol, cette parcelle est aujourd’hui une forêt sauvage. C’est ce périmètre qui fait l’objet d’un projet d’aménagement, celui de la base de loisir de la Corniche des Forts.
Dimanche 23 décembre 2018. Malgré la clôture de sécurité je m’introduis dans la forêt. Dans la lumière blafarde de cette fin décembre je découvre la tristesse du paysage : les bulldozers ont progressé et ce sont maintenant de grandes étendues de terre labourées qui s’étendent là où une végétation chaotique remplissait l’espace.
Photo : Julien Daniel / MYOP